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Puccini Turandot

Du 14 juin Au 30 juin 2024
La Monnaie - Bruxelles
Programme

Puccini : Turandot 2h30

Chanté en : Italien
Distribution
  • Chef d'orchestre
    Kazushi Ono
  • Metteur en scène
    Christophe Coppens
  • Interprètes
    Turandot: Ewa Vesin
    Calaf: Stefano La Colla
    Liù: Venera Gimadieva
    Timur: Michele Pertusi
  • Info salle
  • Plan de la salle
  • Synopsis

La Monnaie - Bruxelles Location Place de la Monnaie - 1000 Bruxelles Belgique

  • Capacité de la salle : 1152

L'histoire de La Monnaie, la célèbre scène lyrique de Bruxelles, commence en 1695, lorsqu'une grande partie de la ville est bombardée par les Français et que le trésorier particulier du dernier gouverneur espagnol des Pays-Bas obtient alors l'autorisation de construire un théâtre sur l'emplacement d'un atelier détruit où se frappait la monnaie.

En 1700, une représentation de l'ATYS de Lully consacre donc l'inauguration de ce théâtre de La Monnaie, où alterneront les spectacles de théâtre et d'opéra, comme ce jour où Napoléon Bonaparte vient y entendre le célèbre Talma déclamer les vers de BRITANNICUS. C'est d'ailleurs l'Empereur des Français qui envisagera la construction d'un nouveau bâtiment situé juste en arrière du précédent. Mais Bruxelles passe sous la domination du roi des Pays-Bas, qui reprend le projet. Ce deuxième théâtre de La Monnaie, inauguré en 1819, vaudra pourtant bien des déboires au souverain néerlandais : à l'occasion d'une représentation de LA MUETTE DE PORTICI d'Auber, des spectateurs trop nombreux se trouvent rassemblés devant le théâtre. Dans la salle, on bisse le duo « Amour sacré de la patrie », et quand le héros lance « Aux armes! », la foule se précipite dans la ville. Ce 25 août 1830, la révolution qui allait donner son indépendance à la Belgique commençait.

 

La salle que nous connaissons actuellement date, elle, de 1856, la précédente ayant été ravagée par un de ces incendies qui rythment si souvent l'histoire des scènes lyriques européennes. A partir de ce moment, La Monnaie se forge une réputation de foyer de création et de modernité, dont la programmation audacieuse vient compenser le conservatisme de la scène parisienne. On y joue Verdi, mais aussi Wagner comme nulle par ailleurs hors d'Allemagne; on y applaudit encore la CARMEN de Bizet que les Français avaient commencé par bouder.

 

A notre siècle, La Monnaie ne craint pas d'afficher les noms de Stravinski, Berg, Britten ou Prokofiev à ses programmes, avant bien d'autres maisons d'opéra. A partir de 1960, le rayonnement de l'établissement bruxellois se trouve renforcé par la création du Ballet du XXème siècle de Maurice Béjart, et définitivement assuré sous la direction de Gérard Mortier (1981-1991). Celui-ci ne quittera La Monnaie que pour prendre la direction du Festival de Salzbourg et céder la place à Bernard Foccroulle.

 

En produisant des spectacles de Patrice Chéreau, Karl Ernst Hermann ou Klaus Michael Grùber, La Monnaie a pris une large part dans le mouvement européen de rénovation de la mise en scène lyrique, et agrandi le nombre des amateurs d'opéra au delà du cercle des traditionnels connaisseurs.

La Monnaie

Le plan de salle est donné à titre indicatif et n'a aucune valeur contractuelle.
La répartition des catégories peut différer en fonction des spectacles et des dates.

Synopsis

Turandot

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Parmi tous les succès de Puccini, Turandot tient une place à part. Le dernier opéra resté inachevé, concentre tout l’art du maître et peut être considéré comme son plus grand chef-d’oeuvre. L’opéra réclame les plus grandes voix pour rendre justice à des airs divinement écrits et aussi connus que le Nessum dorma.

A sa mort en 1924, Puccini laisse inachevé cet opéra inspiré d'un conte chinois de Carlo Gozzi, écrit en 1762. Il s'agit d'une oeuvre de maturité qui témoigne de la maîtrise musicale de son auteur. Puccini mêle avec bonheur les éléments burlesques avec les trois masques (Ping, Pang, Pong), les éléments héroïques, l'intrigue sentimentale (avec Liù, une héroïne typiquement “ puccinienne ”) et une touche d'exotisme. Cette dernière est caractérisée par l'apparition dans l'oeuvre de thèmes musicaux chinois et par l'usage de la gamme pentatonique.
C’est le grand chef d’orchestre Arturo Toscanini qui a choisi le compositeur Franco Alfano pour achever la partition. Pourtant, lors de la création à la Scala de Milan, le 25 avril 1926, le chef pose la baguette à la dernière note écrite par Puccini sans jouer l’ajout d’Alfano. L’opéra sera créé en totalité lors de la deuxième représentation.

HISTOIRE
A Pékin, au palais de l'empereur, en des temps de légende, la princesse Turandot impose à ses prétendants de résoudre trois énigmes. S'ils échouent, ils sont décapités. Le prince Calaf, amoureux de Turandot, tente sa chance avec l'aide de la servante fidèle Liu. Il dissimule son identité et se présente comme un prince inconnu.

Acte 1
L'opéra débute par l'exécution d'un prétendant malheureux, un prince persan. Dans la foule, l'ancien roi de Tartarie, Timour, retrouve miraculeusement le fils qu'il croyait mort, Calaf. Ce dernier est immédiatement séduit par la beauté de la princesse de Chine, qui paraît au balcon. Il décide de se présenter aux épreuves, malgré les mises en garde de l'esclave Liu, qui l'aime en secret.

Acte 2
Ping, Pang et Pong se lamentent sur le sort de la Chine et les caprices de la princesse. Ils émettent le souhait qu'elle trouve enfin le grand amour. La princesse de Chine révèle pourquoi elle soumet ses prétendants à des épreuves inhumaines : des milliers d'années auparavant, son ancêtre Lo-u-Ling a été violée par un roi barbare et elle souhaite venger cet affront. Calaf résout les trois énigmes, mais la princesse veut se dérober à son serment. Généreux, Calaf lui propose à son tour une épreuve : elle doit découvrir son identité avant le lever du soleil.

Acte 3
Tout le palais cherche à découvrir l'identité du prétendant. Timour et Liu sont arrêtés et questionnés. Pour sauver son maître, Liu prétend être la seule à connaître le nom de Calaf. Elle craint de révéler la vérité sous la torture et se suicide. Calaf reproche à la princesse sa cruauté. Elle lui avoue l'avoir aimé depuis le premier moment et il lui révèle son identité. Au matin, la princesse déclare qu'elle a résolu l'énigme : le nom du prince mystérieux est "amour".

LES PERSONNAGES
Turandot, princesse, soprano
Calaf, prince inconnu, ténor
Liu, jeune escaclave,soprano
Timour, père de Calaf, Basse
Ping, chancelier, Baryton
Pang, le pourvoyeur, Ténor
Pong, le cuisinier, Ténor
Altoum, empereur, Ténor

La Monnaie

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