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© Masiar Pasquali

Donizetti Maria Stuarda

Du 20 juin Au 29 juin 2024
Teatro di San Carlo - Napoli
Programme

Donizetti : Maria Stuarda

Distribution
  • Chef d'orchestre
    Riccardo Frizza
  • Metteur en scène
    Jetske Mijnssen
  • Interprètes
    Maria Stuarda: Pretty Yende
    Elisabetta: Aigul Akhmetshina
    Leicester: Francesco Demuro
    Talbot: Carlo Lepore
    Lord Cecil: Sergio Vitale
Description

Maria Stuarda de Donizetti a été créé à San Carlo en 1834 dans une version remaniée. Ce retour, 190 ans après sur sa scène de naissance, est très attendu, puisque c’est la magnifique soprano sud-africaine Pretty Yende qui tiendra le rôle-titre. Une occasion à ne pas rater !

  • Info salle
  • Plan de la salle
  • Synopsis

Teatro di San Carlo - Napoli Location Via San Carlo, 98F - 80132 Napoli Italie

  • Capacité de la salle : 1386

Le «San Carlo» est le plus vieux théâtre lyrique encore en activité. Dès 1737, année de son inauguration, on y admire l'excellent orchestre de 42 musiciens, mais aussi les chanteuses connues par leur surnom, «la Parruchierrina» ou «la Bastarella», et plus que tout, les castrats du Conservatoire de Naples, dont le fameux Farinelli. Enfin, il se dégage de son architecture somptueuse, avec ses six étages de loges, un charme qui ravira encore Stendhal, où même Paul Klee, fasciné par ce «théâtre superbe, lourd et obscur».

On comprend donc que Ferdinand de Bourbon ait vite fait reconstruire l'édifice, et à l'identique, après l'incendie de 1816 : Naples, privée d'opéra, en deuil, menaçait de retirer sa confiance au souverain. Il faut ajouter qu'avait alors brillamment commencé le règne de Domenico Barbaja, un véritable personnage de roman qualifié de «prince des imprésarios» par Alexandre Dumas. Dès 1815, cet ancien garçon de café milanais, à qui Von attribue parfois l'invention de la crème fouettée, avait eu l'idée géniale de prendre pour directeur artistique Gioacchino Rossini en personne. Cette collaboration exceptionnelle, pendant laquelle Rossini composa une dizaine d'opéras et s'enticha de la voix et de la personne d'Isabella Colbran, se termina précipitamment, en 1822, puisque la Colbran était également la maîtresse de Barbaja... Ce dernier engage alors Donizzetti (qui composera notamment LUCIA DI LAMMERMOOR pour le San Carlo), tout en lançant, en 1826, un jeune compositeur nommé Vincenzo Bellini. La scène napolitaine est alors le lieu où se font et se défont les réputations des chanteurs : c'est ainsi que le célèbre ténor français Adolphe Nourrit, s'esti-mant peu applaudi, se suicidera après une représentation au San Carlo. C'est ensuite le compositeur Saverio Mercadante qui gagnera les faveurs du terrible public du San Carlo, à tel point qu'un Verdi ne s'y sentira pas tout de suite à l'aise. Mais il finira par y triompher en 1872, où il assure la direction d'une saison entière, et fait construire une fosse d'orchestre.

Toutefois, auXXème siècle, l'étoile de la Scala de Milan fait parfois pâlir celle de l'opéra de Naples, une rivalité ancestrale qui dure toujours, dans un pays où les mélomanes doivent savoir choisir leur camp. Mais la scène napolitaine sait se défendre en enrichissant, de nos jours encore, le plus vaste répertoire au monde d'oeuvres créées dans un théâtre lyrique ; et les plus grands chanteurs, comme Beniamino Gigli qui s'y est produit de 1915 à 1953, restent exceptionnellement fidèles au public averti du Teatro di San Carlo, qui est aussi le plus chaleureux qu'on puisse imaginer.

Teatro di San Carlo

Le plan de salle est donné à titre indicatif et n'a aucune valeur contractuelle.
La répartition des catégories peut différer en fonction des spectacles et des dates.

Synopsis

Maria Stuarda

MARIA STUARDA,  ENTRE CONFLITS POLITIQUES ET AMOUREUX

Maria Stuarda est un opéra dramatique composé par Gaetano Donizetti, en deux actes, sur un livret de Giuseppe Bardari, crée le 18 octobre 1834 à Naples sous le titre "Buondelmonte" et à la Scala de Milan le 30 décembre 1835 sous son titre original. L'opéra décrit une guerre psychologique entre deux reines qui revendiquent le royaume et qui se disputent l'amour d'un comte. Politique, religion, jalousie, rivalité et érotisme se mêlent dans ce drame lyrique puissant et psychologique. La reine souveraine et la reine déchue vont s'affronter entre complots et cruautés et Maria Stuarda finira décapitée.

L'HISTOIRE

En 1587 en Angleterre. Marie Stuarda, reine d'Ecosse a été faite prisonnière par sa cousine Elisabeth, reine d'Angleterre, au château de Fotheringay.

Acte 1

1er tableau

Au palais de Westminster, la reine Elisabeth, qui doit se marier au roi de France pour réunir les couronnes de France et d'Angleterre, est attendue par les courtisans. Mais Elisabeth est amoureuse du Comte de Leicester et confie sa peine en chantant. Lord Cecil lui conseille de faire exécuter Marie Stuart, reine d'Ecosse. Elisabeth se met à prier. Entre Leicester, qui est nommé ambassadeur auprès du roi de France par Elisabeth. Elle lui demande d'aller annoncer son mariage avec le roi de France. Leicester reste impassible, ce qui attriste la reine. Se retrouvant seuls, Talbot donne une lettre écrite par Marie au comte lui demandant de l'aider. Touché, Leicester promet de l'aider. Elisabeth revient et soupçonne le comte d'être amoureux de Marie. Celui-ci la convainc du contraire et lui demande d'aller rendre visite à sa cousine.
Deuxième tableau
Marie se promène dans le parc de Fotheringay en compagnie d'Anna sa suivante. L'équipage d'Elisabeth arrive. Marie veut fuir, mais Leicester lui demande qu'elle supplie la reine pour sa libération. Marie agenouille et implore son pardon. Mais Elisabeth la repousse et la condamne à mort.

Acte 2

2eme tableau

Elisabeth, au palais de Westminster, soupçonne Leicester d'être amoureux de sa cousine et signe l'acte de mort. Entre Leicester qui implore son pardon. Mais Elisabeth lui ordonne d'assister à l'exécution.
Deuxième tableau
Marie, à Fortheringay se confesse auprès de Talbot.
Troisième tableau
Les amis de Marie s'élèvent contre la reine Elisabeth. Marie prie Dieu tandis que le premier des trois coups de canon se font entendre annonçant l'heure de l'exécution. Elisabeth vient en personne chercher Marie et lui accorde une dernière faveur. Marie demande à être accompagnée d'Anna jusqu'au pied de l'échafaud. Leicester apparaît au deuxième coup de canon et implore la reine de laisser vivre Marie. Au troisième coup, Marie part, fière, vers la mort.

LES ROLES PRINCIPAUX

Marie Stuart, reine d'Ecosse, soprano
Elisabeth, reine d'Angleterre, soprano
Roberto Dudley, comte de Leicester, ténor
George Talbot, comte de Shrewsbury, baryton
Ann Kennedy, dame de compagnie de Marie, mezzo-soprano
William Cecil,basse

© Teatro di San Carlo

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