À partir de 85 €
×

1 Cliquer sur la date pour voir les prix et réserver

Disponible

2Choisissez la Catégorie et le nombre de places

Indiquez ci-dessous vos souhaits concernant votre réservation de billets :
(150 char. max)

Emplacement

Nous réservons les meilleures places disponibles dans la catégorie. Les emplacements sont confirmés par e-mail. Places contiguës. Plus d’information

DES QUESTIONS ?

A votre disposition par tel : +33 1 53 59 39 29 - ou par Email) Voir Aide en ligne & Questions

MODE D'OBTENTION DES BILLETS

Vous recevrez par email votre voucher à imprimer et à échanger au théâtre.

Prix

Le prix Music & Opera inclut tous les frais et taxes applicables et ne correspond pas à la valeur faciale du billet.

Assurance annulation

Une assurance annulation vous sera proposée avant le paiement plus d'information

Retour

Puccini Turandot

Du 06 juillet Au 14 juillet 2024
Staatsoper Unter den Linden - Berlin
Programme

Puccini : Turandot 2h30

Chanté en : Italien
Distribution
  • Chef d'orchestre
    Rafael Payare
  • Metteur en scène
    Philipp Stölzl
  • Interprètes
    Turandot: Liudmyla Monastyrska
    Calaf: Fabio Sartori
    Liù: Adriana Gonzalez
    Timur: René Pape
  • Info salle
  • Plan de la salle
  • Synopsis

Staatsoper Unter den Linden - Berlin Location Unter den Linden 7 - 10117 Berlin Allemagne

Lorsqu'en 1742, l'opéra situé sur la Lindenallee est inauguré, Frédéric II entend en faire le symbole culturel de sa capitale idéale, situé au centre du « Forum Fridericianum ». Ce « palais enchanté », selon les propres mots du despote éclairé, est effectivement devenu un des rares vestiges de l'ancienne ville encore visible aujourd'hui, concentrant en lui une grande partie de l'héritage de la culture musicale allemande : l'orchestre rattaché à l'opéra, la Staatskapelle de Berlin, avait été fondé en 1570, et dans la liste de ses chefs permanents, on trouve les noms de Meyerbeer, Mendelssohn, Richard Strauss, Furtwangler, Klemperer ou Karajan !

Durant le XIXème siècle, l'opéra de Berlin reste un opéra de cour, où l'on crée le FREISCHÜTZ de Weber, mais les activités de la Staatskapelle de Berlin se développent sous la responsabilité de Spontini, qui fut le premier nommé "Preußischer Generalmusikdirektor". C'est dire la responsabilité de la formation berlinoise dans la vie musicale allemande de l'époque, qui ira croissante après la création, en 1842, des SINFONIE-SOIREEN ouvertes au public par souscriptions.

En 1919, l'Opéra Royal devient Opéra d'État, et prend activement part à la folle activité créatrice de l'Allemagne des années vingt : Erich Kleiber y présente au monde le WOZZECK de Berg, et dans ce temple de l'art lyrique résonnent les harmonies d'inspiration populaire d'un Kurt Weill, avant que le nazisme ne mette fin à cette intense période de créativité. Pendant la guerre, Karajan saura y forger sa réputation, sous les bombes qui détruisent le bâtiment, partiellement en 1941, et définitivement en 1945.

De par sa situation géographique, le Staatsoper deviendra en 1949 l'Opéra de Berlin-Est. En 1955, l'administration de la RDA réinstallera la troupe dans l'illustre salle rebâtie selon les plans d'origine, où se produiront les Peter Schreier et autres Theo Adam qui ont su faire vivre une véritable école de chant est-allemande.

Avec la réunification, l'institution est profondément réorganisée, sous l'impulsion notamment de Daniel Barenboim qui prend le titre de Directeur Général de la Musique en 1992. Fier de son impressionnante histoire, l'actuel Opéra Unter den Linden n'hésite plus à se souvenir de ses origines baroques, et l'on y ressuscite plus qu'ailleurs les opéras antérieurs à ceux de Mozart, comme ce CLEOPATRA E CESARE de Graun qui avait ouvert la première saison de 1742. Mais on y passe aussi des commandes à Pierre Boulez, tout en défendant évidemment le répertoire traditionnel, dans lequel Wagner tient une large place. A juxtaposer ainsi la tradition et l'innovation, il se présente désormais comme une des institutions les plus représentatives du nouveau dynamisme berlinois. 

Staatsoper Unter den Linden

Le plan de salle est donné à titre indicatif et n'a aucune valeur contractuelle.
La répartition des catégories peut différer en fonction des spectacles et des dates.

Synopsis

Turandot

Écouter la playlist Music & Opera :

Parmi tous les succès de Puccini, Turandot tient une place à part. Le dernier opéra resté inachevé, concentre tout l’art du maître et peut être considéré comme son plus grand chef-d’oeuvre. L’opéra réclame les plus grandes voix pour rendre justice à des airs divinement écrits et aussi connus que le Nessum dorma.

A sa mort en 1924, Puccini laisse inachevé cet opéra inspiré d'un conte chinois de Carlo Gozzi, écrit en 1762. Il s'agit d'une oeuvre de maturité qui témoigne de la maîtrise musicale de son auteur. Puccini mêle avec bonheur les éléments burlesques avec les trois masques (Ping, Pang, Pong), les éléments héroïques, l'intrigue sentimentale (avec Liù, une héroïne typiquement “ puccinienne ”) et une touche d'exotisme. Cette dernière est caractérisée par l'apparition dans l'oeuvre de thèmes musicaux chinois et par l'usage de la gamme pentatonique.
C’est le grand chef d’orchestre Arturo Toscanini qui a choisi le compositeur Franco Alfano pour achever la partition. Pourtant, lors de la création à la Scala de Milan, le 25 avril 1926, le chef pose la baguette à la dernière note écrite par Puccini sans jouer l’ajout d’Alfano. L’opéra sera créé en totalité lors de la deuxième représentation.

HISTOIRE
A Pékin, au palais de l'empereur, en des temps de légende, la princesse Turandot impose à ses prétendants de résoudre trois énigmes. S'ils échouent, ils sont décapités. Le prince Calaf, amoureux de Turandot, tente sa chance avec l'aide de la servante fidèle Liu. Il dissimule son identité et se présente comme un prince inconnu.

Acte 1
L'opéra débute par l'exécution d'un prétendant malheureux, un prince persan. Dans la foule, l'ancien roi de Tartarie, Timour, retrouve miraculeusement le fils qu'il croyait mort, Calaf. Ce dernier est immédiatement séduit par la beauté de la princesse de Chine, qui paraît au balcon. Il décide de se présenter aux épreuves, malgré les mises en garde de l'esclave Liu, qui l'aime en secret.

Acte 2
Ping, Pang et Pong se lamentent sur le sort de la Chine et les caprices de la princesse. Ils émettent le souhait qu'elle trouve enfin le grand amour. La princesse de Chine révèle pourquoi elle soumet ses prétendants à des épreuves inhumaines : des milliers d'années auparavant, son ancêtre Lo-u-Ling a été violée par un roi barbare et elle souhaite venger cet affront. Calaf résout les trois énigmes, mais la princesse veut se dérober à son serment. Généreux, Calaf lui propose à son tour une épreuve : elle doit découvrir son identité avant le lever du soleil.

Acte 3
Tout le palais cherche à découvrir l'identité du prétendant. Timour et Liu sont arrêtés et questionnés. Pour sauver son maître, Liu prétend être la seule à connaître le nom de Calaf. Elle craint de révéler la vérité sous la torture et se suicide. Calaf reproche à la princesse sa cruauté. Elle lui avoue l'avoir aimé depuis le premier moment et il lui révèle son identité. Au matin, la princesse déclare qu'elle a résolu l'énigme : le nom du prince mystérieux est "amour".

LES PERSONNAGES
Turandot, princesse, soprano
Calaf, prince inconnu, ténor
Liu, jeune escaclave,soprano
Timour, père de Calaf, Basse
Ping, chancelier, Baryton
Pang, le pourvoyeur, Ténor
Pong, le cuisinier, Ténor
Altoum, empereur, Ténor

Staatsoper Unter den Linden

Vous pouvez aussi être interessé par…