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Wagner Siegfried

Du 07 mai Au 24 mai 2024
Opernhaus - Zurich
Programme

Wagner : Siegfried

Distribution
  • Chef d'orchestre
    Gianandrea Noseda
  • Metteur en scène
    Andreas Homoki
  • Interprètes
    Siegfried: Klaus Florian Vogt
    Brünnhilde: Camilla Nylund
    Wanderer: Tomasz Konieczny
    Mime: Wolfgang Ablinger-Sperrhacke
    Erda: Anna Danik
    Alberich: Christopher Purves
    Fafner: David Leigh
    Stimme des Waldvogels: Rebeca Olvera
  • Info salle
  • Plan de la salle
  • Synopsis

Opernhaus - Zurich Location Falkenstrasse 1 - 8008 Zurich Suisse

  • Capacité de la salle : 1200

Merveilleux théâtre à taille humaine, l’opéra de Zürich s’est hissé en haut du classement des meilleurs salles en Europe. D’une exceptionnelle qualité artistique, chaque saison impressionne avec les plus grands artistes toujours à l’affiche.

Il aura fallu attendre l'année 1834 pour que la ville de Zurich se dote d'un Opéra. En ces terres de Réforme, l'idée même de spectacle lyrique est longtemps restée suspecte, à tel point que, les premières années, le choix du répertoire était surveillé par la police. De plus, la ville ne possédait pas d'orchestre professionnel à l'époque, et il faudra donc attendre la venue du bouillonnant Wagner, en 1849, pour que la vie musicale zurichoise s'anime réellement.

L'édifice que nous connaissons actuellement n'a été construit qu'en 1891, après l'incendie qui avait détruit le précédent. Les architectes Fellner et Helmer utilisèrent un projet qu'ils réservaient à l'origine pour Cracovie, et bâtirent une salle de 1 100 places, de style néo-baroque, qui pouvait servir aussi bien pour le théâtre que pour l'opéra. C'est ici qu'un Wilhelm Furtwdngler de 21 ans sera engagé comme chef de chœurs et que PARSIFAL sera donné pour la première fois hors de Bayreuth, en 1913. Richard Strauss vient y diriger pendant la Première Guerre Mondiale, mais Zurich se distinguera particulièrement après 1933, en accueillant de nombreux artistes exilés d'Allemagne. Berg viendra y créer sa LULU, et Hindemith MATHIS DER MALER, tandis que Hans Swarowsky, qui a étudié auprès de Schônberg et Webern, sera nommé directeur musical en 1937. Poursuivant cette tradition, Hans Rosbaud (à qui Boulez a dédié son MARTEAU SANS MASTRE) fera de l'Opéra de Zurich un des hauts lieux de la création lyrique entre 1955 et 1958, et donnera notamment la première scénique du MOÏSE ET AARON de Schônberg.

La création y tient encore de nos jours une place déterminante, mais, sous la direction de Claus Helmut Drese, intendant de 1975 à 1986, d'autres sortes d'audaces sont proposées au public au cours d'un cycle Monteverdi réalisé sous la direction révolutionnaire de Nikolaus Harnoncourt et mis en scène par Jean-Pierre Ponnelle. Ces spectacles enregistrés sur disques et en vidéo, présentés à Hambourg, Vienne, Edimbourg, Berlin, Munich, Wiesbaden, et jusqu'à la Scala, ont définitivement marqué la réputation internationale de la maison. Un cycle Mozart est d'ailleurs commencé peu après avec la même équipe. Depuis, Harnoncourt est venu diriger d'autres compositeurs (Beethoven, Weber...), tandis que le jeune chef autrichien Franz Welser-Môst a été nommé directeur musical en 1995. Actuellement, cette scène où viennent se produire les plus grandes voix possède le mode de gestion des institutions suisses : les décisions importantes, comme la rénovation de 1982 ou la récente "cantonalisation", y sont soumises au vote populaire.

Opernhaus

Le plan de salle est donné à titre indicatif et n'a aucune valeur contractuelle.
La répartition des catégories peut différer en fonction des spectacles et des dates.

Synopsis

Siegfried

SIEGFRIED, PIECE CENTRALE DU RING DE WAGNER

 

Il s'agit de l'opéra central de la tétralogie de Wagner, ou Ring (l'anneau des Nibelungen).

Le compositeur y explore une fois encore les légendes allemandes et met en scène la figure archétypale du héros germanique. Le protagoniste de cet opéra représente une vision idéalisée de l'homme, dans son affrontement avec les dieux. Sa victoire sur Wotan, divinité fatiguée et déchue, annonce le "crépuscule des dieux", que Wagner abordera dans le dernier opéra de sa tétralogie.

On retrouve ici les leitmotive chers au compositeur, son emploi quasi magique des détails musicaux et son talent à recréer l'atmosphère des temps mythologiques tout en caractérisant ses personnages.

 

 

L'HISTOIRE

 

L'intrigue prend place après que Sieglinde, dans La Walkyrie, ait donné lieu à un fils appelé à devenir un grand héros germanique. Pour avoir protégé la mère et l'enfant, Brunnhilde, fille de Wotan, a été déchue de sa divinité et plongée dans un profond sommeil sur lequel veille un cercle de feu. C'est alors que peut paraître, pour la sauver, le héros Siegfried, qui n'est autre que l'enfant de Sieglinde.

 

Acte 1 

 

Le héros a été élevé par le nain Mime, un forgeron, qui est son père adoptif. Ce dernier poursuit un sinistre projet : utiliser son fils adoptif pour tuer le dragon Fafner et récupérer deux objets magiques, le Tarnhelm, qui rend invisible, et l'anneau des Nibelungen. L'acte I est l'occasion de retrouver Wotan, père des dieux, qui parcourt la terre sous le déguisement du Voyageur et qui fait étape chez Mime. Siegfried se forge une épée à partir des restes brisés de celle de son père et brise l'enclume de Mime.

 

Acte 2

 

Alberich, frère de Mime, veille sur l'antre de Fafner. Il croise le Voyageur, en qui il reconnaît Wotan. Le héros, parvenu à la grotte en compagnie de Mime, réveille le dragon et l'affronte, tandis que le nain s'enfuit. Vainqueur, il lèche sur sa main le sang du dragon qui l'a brûlé, ce qui lui confère le pouvoir de comprendre le chant des oiseaux et les pensées des humains. Il s'empare du Tarnhelm et de l'anneau magique. Mime tente d'empoisonner son fils adoptif, mais ce dernier lit dans ses pensées et le tue. Le chant d'un oiseau révèle au héros le lieu où dort Brunnhilde.

 

Acte 3

 

Wotan et Erda ne comprennent plus le monde : aucun des plans des dieux n'a abouti et Wotan n'a pu récupérer l'anneau. Il commence à se résoudre à la fin des dieux, mais affronte cependant le héros alors qu'il veut s'approcher du cercle de flammes qui entoure Brunnhilde. Wotan est vaincu, le héros réveille Brunnhilde d'un baiser et les deux jeunes gens tombent amoureux l'un de l'autre. Assister à une représentation (lien)

 

LES ROLES PRINCIPAUX

 

Wotan ou le Voyageur (baryton-basse)

Siegfried (ténor)

Brunnhilde, walkyrie déchue (soprano)

Alberich, un Niebelung (baryton)

Mime, frère d'Alberich (ténor)

Fafner, dragon (basse)

Erda, déesse mère (contralto)

Opernhaus Zurich © Dominic Büttner

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