À partir de 46 €
×

1 Cliquer sur la date pour voir les prix et réserver

Disponible

2Choisissez la Catégorie et le nombre de places

Indiquez ci-dessous vos souhaits concernant votre réservation de billets :
(150 char. max)

Emplacement

Nous réservons les meilleures places disponibles dans la catégorie. Les emplacements sont confirmés par e-mail. Places contiguës. Plus d’information

DES QUESTIONS ?

A votre disposition par tel : +33 1 53 59 39 29 - ou par Email) Voir Aide en ligne & Questions

MODE D'OBTENTION DES BILLETS

Vous recevrez par email vos E-billets à imprimer ou à présenter sur votre smartphone.

Prix

Le prix Music & Opera inclut tous les frais et taxes applicables et ne correspond pas à la valeur faciale du billet.

Assurance annulation

Une assurance annulation vous sera proposée avant le paiement plus d'information

Retour

Asmik Grigorian © Matthias Hartmann

Puccini Madama Butterfly

Du 15 juin Au 20 juin 2024
Deutsche Oper - Berlin
Programme

Puccini : Madama Butterfly 130 mn

Distribution
  • Chef d'orchestre
    Yi-Chen Lin
  • Metteur en scène
    Pier Luigi Samaritani
  • Interprètes
    Cio-Cio San: Asmik Grigorian
    Pinkerton: Joshua Guerrero
    Suzuki: Irene Roberts
    Sharpless: Dong-Hwan Lee
    Goro: Gideon Poppe
    Bonzo: Byung Gil Kim
Description

Les temps forts sont nombreux à Berlin et pourtant ces représentations se détachent car dans la grande année Puccini, il faut absolument entendre la plus grande Butterfly de sa génération. Asmik Grigorian est tout simplement époustouflante de beauté !

  • Info salle
  • Plan de la salle
  • Synopsis

Deutsche Oper - Berlin Location Bismarckstrasse 35 - 10627 Berlin Allemagne

  • Capacité de la salle : 1859

A la différence du Staatsoper Unter den Linden, fondé au XVIIIème siècle au centre de la cité et longtemps considéré comme l'Opéra royal, le Deutsche Oper voit son histoire commencer en 1912, dans le quartier de Charlottenburg alors situé hors la ville, et sur l'initiative de riches bourgeois. Mais la crise économique qui suit la Première Guerre Mondiale aura raison de cet Opéra de Charlottenburg, qui est donc racheté par la Ville de Berlin.

Bruno Walter élèvera de beaucoup la qualité musicalede l'institution, rebaptisée Städtische Oper (Opéra de la Ville), avant que ne s'ouvre une brève période pendant laquelle l'intendant Cari Ebert (assisté de Rudolf Bing le futur légendaire directeur du MET de New-York) favorisera la musique la plus moderne, ces opéras de Kurt Weill ou Schreker que Klemperer ne pouvait plus monter au Kroll-oper désormais fermé, et qui déclencheront l'ire des nazis dès 1933.

En 1945, le bâtiment n'est plus que ruines, mais dès le mois d'août, la troupe se réunit au Theater des Westerns pour y donner FIDELIO. Elle y restera jusqu'en 1961. Durant cette période, le chefFerenc Fricsay, nommé directeur musical, permettra au Städtische Oper de retrouver son rang international, faisant alterner le grand répertoire dans des mises en scène de haute qualité (où l'on découvre alors les voix de Dietrich Fischer-Dieskau ou Josef Greindl), des œuvres de Stravinski ou Hindemith interdites par les nazis, et des créations mondiales. Mais en 1955, l'Opéra Unter den Linden, situé à l'Est, rouvre sous le nom de Deutsche Staatsoper. Sous l'effet de cette concurrence politico-artistique, trois décisions ont été prises : le Städtische Oper est rebaptisé Deutsche Oper Berlin, les plans d'un édifice à construire sur le site de Charlottenburg (situé à l'Ouest) sont arrêtés, et Cari Ebert qui a entre-temps fondé le Festival de Glyndebourne est rappelé. Ses mises en scène et sa programmation font de Berlin-Ouest une des capitales de l'opéra contemporain.

Malgré les départs de Fricsay et Ebert, l'ouverture du bâtiment moderne, et la construction du Mur, l'année 1961 ne constitue pas une réelle rupture dans l'histoire agitée de l'Opéra de Charlottenburg. Avec des chefs comme Karl Böhm et Eugen Jochum, ou plus tard Lorin Maazel, des metteurs en scène comme Wieland Wagner, des intendants comme Siefried Palm (violoncelliste spécialiste de musique contemporaine) ou l'actuel Götz Friedrich (un metteur en scène comme Ebert), les façades de verre du Deutsche Oper Berlin ont accueilli, en quelques années, les productions les plus excitantes de l'art lyrique contemporain.

Deutsche Oper

Le plan de salle est donné à titre indicatif et n'a aucune valeur contractuelle.
La répartition des catégories peut différer en fonction des spectacles et des dates.

Synopsis

Madama Butterfly

Nul autre opéra n’aura offert une mort plus sublime que celle de Cio-Cio-san, héroïne ô combien attachante de Madama Butterfly. La merveilleuse musique de Puccini et le sacrifice ultime de cette amoureuse passionnée mais délaissée ne peut laisser insensibles que les cœurs de pierre.
La délicatesse et la retenue définissent cette tragédie en trois actes. Dans l'intimité d'une maison japonaise, s'expriment les espoirs et la douleur d'une jeune femme éperdument amoureuse. La tension dramatique, la compassion et la pitié, non dites, sont soulignées par une ligne mélodique extrêmement riche, discrètement ponctuée par sept mélodies authentiquement japonaises. La musique est au service d'un amour sincère et d'un honneur bafoués qui conduisent à la tragédie finale.
Le « un bel di vedremo » vibrant d'amour et de confiance est le point d'orgue musical de l'œuvre.

HISTOIRE
Nagasaki, début du XXe siècle.
Un lieutenant de marine américain, Pinkerton, épouse une jeune geisha, Cio-Cio san, surnommée Madame Butterfly. Après son départ, Butterfly l'attend fidèlement, d'autant plus qu'elle en a eu un fils. Pinkerton revient, trois ans plus tard, mais accompagné par son épouse américaine. Il veut adopter le jeune garçon. Désespérée, déshonorée, Butterfly se donne la mort.

Acte 1: Le mariage
Dans la jolie maison qu'il a offerte à Madama Butterfly, Pinkerton épouse la jeune fille selon les rites japonais. Sharpless, consul des Etats-Unis, est inquiet car la jeune femme croit en la sincérité de Pinkerton qui, lui, tout simplement, s'amuse. La fête est brutalement interrompue par un oncle de Cio-Cio san, un bonze, furieux que sa nièce ait embrassé la foi chrétienne. Reniée par sa famille, Butterfly est cependant parfaitement heureuse d'avoir épousé Pinkerton.

Acte 2 : L'attente
Trois ans plus tard, Madama Butterfly attend toujours Pinkerton. Elle vit seule, avec sa servante Suzuki et le fils qu'elle a eu de son mari. Démunie financièrement, elle refuse toutefois les propositions de mariage du prince Yamadori. Sharpless lui apporte une lettre de Pinkerton, censée la préparer à une nouvelle bouleversante. Butterfly, éperdue de joie, en conclut que son mari revient, interrompt Sharpless et demande à Suzuki de fleurir la maison pour accueillir le retour de Pinkerton.

Acte 3 : Le retour
Pinkerton et Sharpless viennent discrètement s'entretenir avec Suzuki, à l'aube. Une femme les accompagne, Kate, l'épouse américaine de Pinkerton. Lorsqu'il entend Butterfly arriver, lâchement, Pinkerton s'enfuit. A Kate, qui lui dit être venue chercher l'enfant pour l'adopter, Butterfly répond qu'elle le donnera à Pinkerton s'il vient en personne le chercher, une demi-heure plus tard. Puis, désespérée, déshonorée, elle fait ses adieux à son fils et se donne la mort par seppuku. Au loin, on entend Pinkerton l'appeler.

LES ROLES PRINCIPAUX
Cio-Cio-San, surnommée "Madame Butterfly" jeune geisha qui devient l'épouse de Pinkerton (soprano)
Suzuki, sa servante (mezzo-soprano)
Benjamin-Franklin Pinkerton, lieutenant de la marine américaine (ténor)
Sharpless, consul américain à Nagasaki (baryton)
Kate Pinkerton, femme américaine de Pinkerton (mezzo-soprano)
Goro, le nakodo ou entremetteur (ténor)
Le prince Yamadori, prétendant de Cio-Cio san (ténor)
Le bonze, oncle de Cio-Cio san (basse)

Deutsche Oper Berlin im Saal © Günter Karl Bose

Vous pouvez aussi être interessé par…