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© Svetlana Loboff / OnP

Puccini Madama Butterfly

Du 14 septembre Au 06 octobre 2024
Opéra Bastille - Paris
Programme

Puccini : Madama Butterfly

2h45 avec un entracte
Distribution
  • Chef d'orchestre
    Speranza Scappucci
  • Metteur en scène
    Robert Wilson
  • Interprètes
    Cio-Cio San: Eleonora Buratto
    Pinkerton: Stefan Pop
    Suzuki: Aude Extrémo
    Sharpless: Christopher Maltman
    Goro: Carlo Bosi
    Bonzo: Vartan Gabrielian
catégorie premium

Catégorie Premium (valable sur certaines dates) : cette catégorie comprend un accès prioritaire aux meilleures places en Catégorie + (Optima), une coupe de champagne par personne à consommer dans des salons privés et un programme du spectacle par commande.

Le prix comprend une contribution (150 € par billet) au soutien des amis de l'Opéra (AROP).

  • Info salle
  • Plan de la salle
  • Synopsis

Opéra Bastille - Paris Location Pl. de la Bastille - 75012 Paris France

  • Capacité de la salle : 2745

L'histoire de l'Opéra de Paris, depuis sa création ordonnée par Louis XIV, en passant par la construction du Palais Garnier sous Napoléon III, est rythmée par les volontés du pouvoir politique français.

La décision de créer un nouvel Opéra sur la place de la Bastille n'a pas échappé pas à cette règle, puisqu'elle fut prise par François Mitterrand, un peu moins d'un an après son accession à la Présidence de la République. Un concours international est alors organisé, et parmi les 750 projets présentés, c'est finalement celui de l'architecte uru-guayo-canadien Carlos Ott qui sera retenu.

Le nouveau bâtiment, qui marque de sa large emprise au sol la place où a débuté la Révolution française, sera inauguré pour la célébration du Bicentenaire de cette même Révolution, en 1989.

 

De la place de la Bastille, la façade de verre, avec son éclairage "aléatoire" imaginé par Yann Kersalé, laisse deviner la sobre modernité des intérieurs, d'autant qu'ils reprennent les mêmes matériaux que les extérieurs, par souci d'ouverture vers le public. Une fois dans les lieux, on découvrira aussi l'heureuse chaleur des bois clairs qui ornent la grande salle frontale de 2703 places. Mais qui a vu cela n'a presqu'encore rien vu : il faut imaginer les espaces scéniques de dégagements qui occupent à eux seuls 55% du volume total de l'édifice, les six sous-sols de locaux techniques, les ateliers où sont fabriqués et stockés les décors mobiles mais aussi les costumes, ou encore cette salle Gounod aux dimensions identiques à la scène principale et où se déroulent les répétitions. Car autour d'un axe de symétrie symbolisé par ces diapasons sculptés qui ornent les parties publiques, l'Opéra Bastille est aussi une formidable machine à fabriquer des spectacles, truffée d'informatique et où s'active la population d'une véritable ville dans la ville.

C'est le chef d'orchestre Myung-Whun Chung qui eut la lourde tâche de faire démarrer cette machine. Le public attentif découvrit alors des mises en scène de Bob Wilson ou de Peter Sellars qui ne firent pas toujours l'unanimité en son sein, mais aujourd'hui, en pleine possession de ses impressionnants moyens qui permettent la rotation des spectacles, la scène parisienne offre une grande diversité de productions. Sous la direction de Hugues Gall et de son conseiller musical James Conlon, les saisons alternent rapidement reprises, grand répertoire et créations, à un rythme qui ne laisse guère de répit aux spectateurs.

Opéra Bastille

Le plan de salle est donné à titre indicatif et n'a aucune valeur contractuelle.
La répartition des catégories peut différer en fonction des spectacles et des dates.

Synopsis

Madama Butterfly

Nul autre opéra n’aura offert une mort plus sublime que celle de Cio-Cio-san, héroïne ô combien attachante de Madama Butterfly. La merveilleuse musique de Puccini et le sacrifice ultime de cette amoureuse passionnée mais délaissée ne peut laisser insensibles que les cœurs de pierre.
La délicatesse et la retenue définissent cette tragédie en trois actes. Dans l'intimité d'une maison japonaise, s'expriment les espoirs et la douleur d'une jeune femme éperdument amoureuse. La tension dramatique, la compassion et la pitié, non dites, sont soulignées par une ligne mélodique extrêmement riche, discrètement ponctuée par sept mélodies authentiquement japonaises. La musique est au service d'un amour sincère et d'un honneur bafoués qui conduisent à la tragédie finale.
Le « un bel di vedremo » vibrant d'amour et de confiance est le point d'orgue musical de l'œuvre.

HISTOIRE
Nagasaki, début du XXe siècle.
Un lieutenant de marine américain, Pinkerton, épouse une jeune geisha, Cio-Cio san, surnommée Madame Butterfly. Après son départ, Butterfly l'attend fidèlement, d'autant plus qu'elle en a eu un fils. Pinkerton revient, trois ans plus tard, mais accompagné par son épouse américaine. Il veut adopter le jeune garçon. Désespérée, déshonorée, Butterfly se donne la mort.

Acte 1: Le mariage
Dans la jolie maison qu'il a offerte à Madama Butterfly, Pinkerton épouse la jeune fille selon les rites japonais. Sharpless, consul des Etats-Unis, est inquiet car la jeune femme croit en la sincérité de Pinkerton qui, lui, tout simplement, s'amuse. La fête est brutalement interrompue par un oncle de Cio-Cio san, un bonze, furieux que sa nièce ait embrassé la foi chrétienne. Reniée par sa famille, Butterfly est cependant parfaitement heureuse d'avoir épousé Pinkerton.

Acte 2 : L'attente
Trois ans plus tard, Madama Butterfly attend toujours Pinkerton. Elle vit seule, avec sa servante Suzuki et le fils qu'elle a eu de son mari. Démunie financièrement, elle refuse toutefois les propositions de mariage du prince Yamadori. Sharpless lui apporte une lettre de Pinkerton, censée la préparer à une nouvelle bouleversante. Butterfly, éperdue de joie, en conclut que son mari revient, interrompt Sharpless et demande à Suzuki de fleurir la maison pour accueillir le retour de Pinkerton.

Acte 3 : Le retour
Pinkerton et Sharpless viennent discrètement s'entretenir avec Suzuki, à l'aube. Une femme les accompagne, Kate, l'épouse américaine de Pinkerton. Lorsqu'il entend Butterfly arriver, lâchement, Pinkerton s'enfuit. A Kate, qui lui dit être venue chercher l'enfant pour l'adopter, Butterfly répond qu'elle le donnera à Pinkerton s'il vient en personne le chercher, une demi-heure plus tard. Puis, désespérée, déshonorée, elle fait ses adieux à son fils et se donne la mort par seppuku. Au loin, on entend Pinkerton l'appeler.

LES ROLES PRINCIPAUX
Cio-Cio-San, surnommée "Madame Butterfly" jeune geisha qui devient l'épouse de Pinkerton (soprano)
Suzuki, sa servante (mezzo-soprano)
Benjamin-Franklin Pinkerton, lieutenant de la marine américaine (ténor)
Sharpless, consul américain à Nagasaki (baryton)
Kate Pinkerton, femme américaine de Pinkerton (mezzo-soprano)
Goro, le nakodo ou entremetteur (ténor)
Le prince Yamadori, prétendant de Cio-Cio san (ténor)
Le bonze, oncle de Cio-Cio san (basse)

Opéra Bastille (c) Christian Leiber

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